À propos de rolan ménégon

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 Dans ses expériences photochimiques, rolan ménégon provoque la photographie et sa surface sensible. La mixité des influences qu'il met en oeuvre s'étend du Photochimigramme, pratique traditionnelle de la photographie, au"Gyotaku", geste ancestral des pêcheurs japonais. 

C'est dans la maÎtrise des techniques et sa transgression qu'il produit ses images uniques, poétiques, qui nous échappent et résistent à notre connaissance.

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 Principales expositions et catalogues :

 "FRAGILITÉS " Galerie Susse Frères avec l'artiste Isabel Tabellion, commissaire d'exposition Claudine Pachnicke, 2019, Paris     

 " Fragilités " catalogue de l'exposition, éd. Ditions, 2019, Paris (disponible)

 " OTHER (WISE) " exposition collective, Li Shui Photography International Festival, Zhe Jiang, Chine, 2018,

 " L'ŒUVRE UNIQUE EN PHOTOGRAPHIE " Galerie Hors Champ, commissaire d'exposition Xavier Jacolot, Sivry-Courtry, France 2017,

 " ROL AUX MAINS D'ARGENT " Galerie de l'Écluse, Fontainebleau, France, 2016

 " MISE EN CÈNE " Galerie Histoire de Voir, avec l'artiste Isabel Tabellion, 2004, Paris

 " POP LE PAV " Pavillon des Arts Visuels, avec l'artiste Isabel Tabellion, 2002, Saint Maur des Fossés

 " BATACLONE " exposition collective Galerie du Bataclan avec l'artiste ORLAN, commissaire d'exposition R. Conte, 2000, Paris

 " PETITES TROPES " Galerie Kieffer, commissaire d'exposition Marianne Kieffer, 1996, Paris

 " Petites Tropes" avec l'artiste Rajdar Coll Part, livre à compte d'auteur, 1996, Paris (disponible)

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Conjointement à ses activités artistiques, rolan ménégon  pratique  la photographie publicitaire durant dix années. Il est depuis 1993  chargé des cours de prises de vues et réalisation photographique à l'École nationale supérieure Louis-Lumière et de 2008 à 2018 des cours de Photographie du cursus cinéma de l'Université Paris I La Sorbonne.

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À propos des Chimiphotogrammes par JP Gandolfo

                                   Le terme "chimigramme" désigne l'image produite par l'application directe des produits chimiques sur une surface sensible initialement vierge. La technique prolonge celle du photogramme en y ajoutant les multiples possibilités offertes par le contrôle des modes de diffusions des composés chimiques de traitement. Cette filiation se retrouve dans la terminologie "chimiphotogramme" proposée en 1958 par Otto Steinert lors de l'exposition Subjektive Fotografie (Cologne).

La technique du chimigramme est intimement liée à l'œuvre du photographie Belge Pierre Cordier qui l'a expérimentée à partir de 1956 et qui est à l'origine de la terminologie retenue aujourd'hui pour désigner ce procédé.

 

À propos du Gyotaku (Ichtyophotogramme)

.......... en cours

Dr

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